Catherine Amaro (LFI - Mâcon) sur Nostalgie, au sujet de la réforme des retraites
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18 mars 2023 - Aurélie Trouvé à Montceau-les-Mines !
La
France Insoumise montcellienne
organise
un grand débat,
Mardi 21 mars,
19h30
Salle
Polyvalente du Centre Nautique
Avec
la participation d'Aurélie Trouvé.
26 février 2023 - LFI
71 - communiqué retraites
23 février 2023 - GA
Macon - communiqué retraites
12 février 2023 - document NUPES national
![]() JSL - 13 janvier 2023 -
Benoit Montaggioni
Réforme des retraites : la bataille a commencé sur les réseaux Avant même les premières manifestations, les Insoumis du Chalonnais publient une longue réponse à un tweet de Louis Margueritte, député Renaissance du Chalonnais, qui défend l’intérêt de la réforme des retraites présentée par Élisabeth Borne. La réforme n’a été présentée que mardi en fin d’après-midi et les premières mobilisations dans la rue sont encore en train de s’organiser. Mais sur internet la bataille des retraites a déjà commencé. Le groupe “Chalon l’Insoumise” a notamment remarqué un tweet du député Renaissance de Saône-et-Loire Louis Margueritte. Ce bon soldat de la Macronie relaye déjà la bonne parole du gouvernement sur les plateaux télé pour convaincre de la nécessité de la réforme. "Justice et équilibre. Cette réforme est le fruit de plusieurs mois de concertation. Le rehaussement de l'âge de départ sera accompagné de nouveaux droits pour les salariés. L'objectif est de sauver notre système de retraites par répartition." Des arguments que le député déploie également sur les réseaux sociaux. Ainsi, quelques minutes après les annonces d’Élisabeth Borne, le 10 janvier, il tweetait les arguments suivants : « meilleure prise en compte des carrières longues, validation de trimestres pour les aidants familiaux, fonds d’investissement dans la prévention de l’usure professionnelle d’un milliard d’euros. » Un message sur lequel ont sauté les membres du Groupe “Chalon L’insoumise” pour tenter de le démonter point par point. « Rien d’autre ? Un peu comme si on mettait un joli papier pour emballer un bien vilain cadeau. » Dans un long message de réponse, signé par Sylvie Herody, membre du parlement de la Nupes, le groupe “Chalon L’insoumise” développe : « ASSUMEZ !
Monsieur Margueritte, que la réforme c’est aussi, et surtout,
le report de l’âge de départ de 62 à 64 ans. Et que cela va
toucher y compris ceux et celles qui sont sur le point de
partir : quelqu’un né après le 1er septembre 1961
devra travailler 3 mois de plus, celui qui est né en 1962, 6
mois de plus, 9 mois de plus s’il est né en 1963 etc. […]
Et les Insoumis chalonnais terminent leur communiqué par une citation en guise de dernier coup de poignard : « Franchement ce serait assez hypocrite de décaler l’âge légal de départ en retraite. Quand on est soi-même en difficulté, bon courage déjà pour arriver à 62 ans ! » Des mots prononcés en avril 2019 par un certain… Emmanuel Macron. 11 janvier 2023 -
Catherine Amaro (LFI)
![]() Catherine Amaro (LFI - Mâcon) sur Nostalgie, au sujet de la réforme des retraites
4 janvier 2023 - A Montceau-les-Mines, la FI s'oppose aux
décisions municipales
![]() BASSIN
MONTCELLIEN
A
Montceau-les-Mines a-t-on encore le droit de critiquer ?
Suite à l’explosion des prix de l’énergie, Mme JARROT, maire
de Montceau-les-Mines, a imposé sans débat des restrictions
énormes de chauffage dans les bâtiments publics (gymnases,
piscine, syndicats, associations). Cette politique reproduit
la politique inégalitaire de Macron et accable encore les plus
pauvres. Nous avons diffusé un tract (ci-dessous) pour
contester l’injustice engendrée par ces décisions prises au
plus haut niveau de la commune.
La
presse locale a imposé le silence et la censure, en refusant
de publier notre texte malgré plusieurs demandes.
Nous
avons fait le maximum pour faire connaitre la vérité aux
citoyens de notre bassin : 2000 exemplaires ont été
distribués devant les écoles et les commerces (à Blanzy et à
Montceau). Un jour, nous avons même dû faire face à des
intimidations policières. Il fallait défendre le droit
d’exprimer nos opinions et nous avons eu à faire à des
adversaires déterminés et coriaces. Va-t-il falloir nous
exprimer nous-mêmes sans passer par la presse dont c’est la
fonction et le devoir ?
TRACT
DISTRIBUE DEVANT LES ECOLES ET COMMERCES DU BASSIN MONTCELLIEN
EN DECEMBRE 2022
![]() 12 décembre 2022 -
Groupe d'action LFI du Clunisois
Contribution du Groupe d’Action LFI du Clunisois au débat sur l’affaire Quatennens Depuis le 18
septembre, une drôle de musique circule dans nos cercles
militants, une musique que nous attendions plutôt de nos
adversaires politiques : “laissez la justice faire son
travail !”, “ce sont des histoires d’amour intimes,
complexes et nous ne devons pas nous en mêler”, “il doit
bénéficier de la présomption d’innocence”. Des déclarations
mêlant réflexe d’affection et juridisme1 prudent.
En tant que militant.e.s de la France Insoumise, engagé.e.s
dans la lutte contre les violences sexuelles et sexistes
(VSS), nous ne sommes ni les amis d’Adrien Quatennens, ni
ses juges. Certes nous n’en sommes pas aux scandales de La
République En Marche à propos de Gérald Darmanin ou Damien
Abad, par exemple. Mais nous attendons davantage d’un
mouvement comme le nôtre et souhaitons proposer notre
réflexion à ce débat. Notre réaction publique à cette
affaire doit être politique et militante : elle doit
être en phase avec les enjeux sociaux (ici, les violences
faites aux femmes) et les valeurs (féministes) que nous
portons. Elle doit respecter la nature de notre mouvement :
un mouvement populaire, “ouvert” et “évolutif”, et non un
parti d’avant-garde dépendant de ses leaders.
Notre travail de militant.e.s Qui peut nier, en effet, que les violences faites aux femmes est aujourd’hui un problème social de premier plan ! En France, 213.000 femmes subissent chaque année des violences sexuelles et sexistes2. Parmi leurs agresseurs - souvent des proches, quasiment tous des hommes - seule une infime minorité font l’objet d’une procédure judiciaire et encore plus rares sont les condamnations. A titre d’exemple, concernant les viols : 10% seulement des victimes portent plainte, et seulement 1% de ces plaintes aboutissent à une condamnation. Donc, 0.1% des viols sont condamnés en France. Pourtant, les études de criminologie et les enquêtes de victimation montrent que les fausses accusations ne représentent que 2 à 10% des plaintes3 (rappelons en outre que, dans cette affaire, Adrien Quatennens a reconnu une partie des accusations pesant contre lui). Si on ne peut pas assimiler toutes les VSS à des viols, ces données n’en illustrent pas moins déséquilibre immense entre la réalité des VSS et leur traitement judiciaire. En tant que militant.e.s, on ne peut pas partir du principe qu’une femme ment quand elle accuse son conjoint de violence, car nous manquerions ainsi de soutenir ces 99.9% de femmes victimes qui n’auront jamais justice ! On ne peut pas non plus en tirer des conséquences tièdes sur le rôle qu’un homme, ainsi accusé, est supposé devoir jouer dans un mouvement qui assume des valeurs féministes ! Un mouvement féministe a pour rôle de soutenir toutes ces femmes pour que cesse l’impunité de la violence des hommes sur les femmes. Cela implique de refuser qu’une personne accusée de violence par sa conjointe représente le dit-mouvement.Il en va donc de notre lucidité et de notre sincérité. C’est aussi simple que cela. Les valeurs que nous partageons sont l’un des ciments les plus solides et les plus honorables de notre mouvement, et ces thèmes féministes en font pleinement partie. Les exigences des militant.e.s aujourd'hui - et notamment celles des jeunes générations - sont immenses. Ne pas l'entendre serait une erreur. Le travail de la justice, la place de l’humain Il ne s’agit pas d’incriminer ici le travail de la justice, mais de souligner la difficulté du traitement judiciaire des VSS et leur importance pour notre société. Une réaction politique ne doit bien sûr pas remplacer la justice ni oblitérer l’humain et l’amitié. La justice doit faire son travail. L’avenir en commun ne prône pas la création d’un tribunal se substituant à la justice ordinaire, qui condamnerait une personne sur une seule accusation.Aussi, et jusqu’à preuve du contraire, les ami.e.s d’Adrien Quatennens n’ont aucune interdiction de le voir, de lui parler, d’entretenir des liens avec lui. Même pour une personne coupable de faits de violences, quelle qu’en soit la gravité, notre programme prône de “discuter avec elle, l’écouter et d’éviter qu’elle se trouve isolée et désocialisée”. C’est sûrement là la place des ami.e.s d’Adrien Quatennens, qu’il soit réellement coupable ou non. L’indispensable démocratie d’un mouvement féministe Nous voulons simplement que le respect de la justice et des amitiés privées n’efface pas les conséquences politiques de cette affaire. Et sur ce point, l’affaire Quatennens pose une question cruciale. Pourquoi tant de volonté, chez certains de nos camarades, de voir revenir une personne accusée de violence sur son ex-compagne ? Parce qu’il serait “un bon homme politique”, répondent ses soutiens. N’y a-t-il personne d’autre de “bon” à la FI ? Sans doute que si ! Cette affaire révèle donc un problème d’organisation dans notre mouvement qui - malgré nombre de figures militantes émergentes - a déjà du mal à accepter un turn over de ses figures de proue. Une structure qui peine à puiser dans cette force immense que constituent 300.000 militant.e.s et 7.700.000 voix à l’élection présidentielle. Les arguments sur les qualités d’Adrien Quatennens qui justifieraient son maintien démontrent bien souvent une personnification et une idolâtrie inquiétantes pour notre mouvement.Décider collectivement de changer de leader est un choix stratégique et politique d’un mouvement populaire, qui ne devrait pas provoquer tant de remous. Nous estimons simplement, avec d’autres, qu’il ne peut plus être l’un de nos leaders politiques. On passe le relais… et la lutte continue La France Insoumise est un programme politique, une vision du monde, une histoire militante et collective. Et dans un tel mouvement, la bonne conduite d’un leader politique, vraiment attaché aux valeurs féministes et démocratiques qu’il a défendu dans son programme, serait de se retirer du premier plan, de démissionner de son mandat, de laisser ses camarades - nombreux et compétents - assumer le front médiatique et le combat parlementaire.Groupe d'action LFI du Clunisois
1 Juridisme : Attitude de quelqu’un qui s'en
tient à la lettre des lois
10/12 - Intervention de Catherine Amaro (LFI) - conférence de
presse NUPES
![]() Bonjour
et merci à toutes et tous pour votre présence ici, à cette
conférence de presse.
Je tiens d’abord à excuser Patrick Monin et Claire Mallard qui sont à Paris, au congrès national d’EELV. Pour représenter les Verts, nous avons Henri Grenard, pour le PCF ce sera Chantal Cloix et Céline Vinauger, pour le PS Léopold Comtet et Yulika Matsunaga, et enfin pour la France Insoumise et ses composantes : Olivier et moi-même, ainsi que Patricia Baci pour le PG, et Christian Allaume pour le POI. Si nous vous avons conviés aujourd'hui, c'est parce que nous souhaitons partager une vision d'espoir avec une gauche rassemblée sur notre territoire. La NUPES dispose aujourd'hui au niveau national d'un intergroupe parlementaire et ses 4 grandes composantes travaillent ensemble à des propositions alternatives pour le pays. Nos 4 grandes familles sont d'ailleurs liées par un accord de gouvernement et ce n'est pas rien, après des années de conflits entre les différents partis de gauche. Au niveau local, il y a une longue habitude de travailler ensemble mais nous avons tout de même fait les frais de ces conflits, avec des résultats décevants à diverses élections, notamment les législatives 2017 qui ont vu s'opposer deux candidats de droite au 2ème tour. Parce que c'est bien de cela qu'il s'agit avec la République en marche ou quel que soit le nom que ces gens portent actuellement : une politique ultra libérale, une politique qui laisse sur le bord de la route de plus en plus de gens, parmi les plus pauvres, bien sûr, mais aussi parmi les classes moyennes de notre pays, une politique court-termisme sans aucune vision des enjeux écologiques, au-delà des stratégies de communication, et enfin une politique brutale faite de 49.3 et de répression de la contestation. Je ne m'étendrai pas plus, tout le monde ici mesure bien le problème et qui incarne une véritable alternative. J'en viens donc vite à ce qui nous motive. La dernière campagne des législatives a fait émerger sur le territoire une nouvelle dynamique, basée sur des propositions mais aussi sur des personnes qui font ce groupe, un groupe basé sur le respect et l'intelligence collective. Patrick Monin et le groupe EELV ont souhaité dès le départ créer une véritable NUPES locale. Ils nous ont tendu une main que nous avons su saisir et qui a permis de fédérer. C'est pourquoi, même si nous ne l'avons pas emporté, nous voyons cette campagne comme un succès. Un succès parce que le deuxième tour a vu s'opposer deux visions bien différentes de notre avenir. Un succès aussi dans le travail commun, un succès dans les échanges avec les habitants des quartiers populaires, un succès dans le dépassement de ce que nous pensions être des clivages. Notre réunion de retrouvailles du 17 octobre dernier a permis de faire émerger plusieurs choses. D'abord, l'envie de continuer à travailler ensemble, ensuite des priorités communes pour notre territoire (malgré ou avec nos différences), sans volonté d'hégémonie d'aucun de nous. C'est pourquoi je laisse vite la parole à mes coéquipiers et d'abord à Chantal qui va développer ce qui nous rend si forts.
30 novembre - débat sur l'écosocialisme
Discours d'introduction - Marche pour le climat 12.11
![]() Catherine
Amaro – co-cheffe de file LFI sud Bourgogne
"La
crise écologique est devenue un enjeu politique majeur, en
France comme dans de nombreux pays. Aujourd’hui chacun peut
mesurer la gravité des risques que pose la catastrophe
écologique pour le futur de tous.
Le changement climatique n’est pas le seul enjeu : il y a aussi la perte de la biodiversité, la question de l’eau, les pollutions diverses y compris chimiques ou radioactives, ou encore la dégradation de la qualité des sols. Mais le changement climatique occupe une place majeure et centrale : s’il n’est pas maîtrisé, ce changement a le potentiel de détruire l’essentiel de la vie sur terre. Les effets sont d’ores et déjà visibles et continueront de l’être dans les prochaines années. La multiplication de phénomènes extrêmes comme les inondations, les ouragans, les méga-feux – ou encore les records de chaleur ainsi que l'étendue des sécheresses de l'été 2022 – sont autant d’impacts de ce changement climatique et ne peuvent plus être niés. Nous sommes dans une véritable situation d’urgence écologique et il est de notre devoir à tous d’éviter un futur invivable. Selon que l’on mène une politique d’atténuation drastique, ou pas, le monde de 2040, 2060 ou 2100, pourrait devenir catastrophique voire invivable pour la grande majorité de l’humanité. Nous manifestons donc aujourd’hui dans le cadre d’un appel mondial à la mobilisation citoyenne pour le Climat. A Mâcon, diverses organisations réunies dans le cadre d’un collectif COP 27 ont décidé de proposer cette marche que nous espérons la plus large possible. Pour les citer et en espérant ne pas en oublier, nous avons : Attac Mâcon, la Confédération Paysanne, Mâcon citoyens, Refondation 71, GRS, EELV, LFI, PG, PCF et Champ libre (avec le Collectif Pas d’éclat). Plusieurs d’entre elles prendront la parole tout au long du parcours. A la France Insoumise, nous sommes convaincus que les racines du changement climatique sont liées en profondeur à d’autres aspects de la crise écologique : surexploitation de ressources, industrialisation à outrance, non-respect de limites et équilibre naturels…, et donc, lutter contre le changement climatique revient à remettre en question le modèle capitaliste qui engendre ces catastrophes." Olivier
Leprévost – co-chef de file LFI sud Bourgogne
"Le réchauffement climatique est en marche, mais il nous appartient encore très largement d’en freiner la progression, et d’en limiter les conséquences. Certes, c’est un défi phénoménal, au vu de l’omniprésence des énergies fossiles dans l’économie globale, du confort matériel à court terme qu’elles apportent, des difficultés, de l’immaturité et des grandes incertitudes liées aux énergies renouvelables, sans oublier la cécité, l’avarice, la corruption et le cynisme des élites. Mais c’est justement par ce choix de faire face au défi du changement climatique, que l’on pourra faire émerger un sursaut collectif nécessaire à la bifurcation écologique pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Ce sursaut collectif doit permettre de profondément transformer les rapports sociaux, de mettre la solidarité et la coopération au-dessus de la compétition, de supplanter la mondialisation par la relocalisation et de redonner une dignité à chaque citoyenne, chaque citoyen. Saisissons cette situation comme une opportunité d’inventer et de mettre en place de nouveaux modèles, des nouvelles manières de vivre, en accomplissant ensemble quelque chose de grand et de transcendant. Parce que nous sommes dans une situation d’urgence, seul un écologisme radical et déterminé pourra permettre à nos aspirations démocratiques de voir le jour. Plutôt que des milliards gaspillés à détruire, ou dilapidés dans de grands projets inutiles, il est temps de mettre toutes nos forces dans la lutte pour sauver ce qui peut encore l'être et de nous unir afin de dessiner un nouveau cap permettant à toutes les générations présentes et futures de reprendre espoir, de vivre et non de survivre." 31 octobre 2022
4 octobre 2022 - Éric
Coquerel
4 octobre 2022 - Arnaud
Milanese
Au fasciste ! Réflexions à partir du livre de Marlène Benquet et Théo Bourgeron, La finance autoritaire, 2021, Raisons d'Agir Trois événements
convergent en 2022. Le plus récent : Jaïr Bolsonaro
vient, contre ce que prévoyaient les sondages, de pousser
Lula vers un second tour, aux élections présidentielles
brésiliennes. Quatre points les séparent, on en attendait
treize ou quatorze. Le président sortant de
l’agro-industrie, des « gros sous », du lobby des
armes, des Eglises Evangélistes, du climato-scepticisme et
de la nostalgie de la dictature n’a pas dit son dernier mot
– il n’est plus si sûr qu’il sorte… Et il a prévenu :
s’il perd, il ne reconnaitra pas les résultats.
Tractage sur les marchés - taxer les profiteurs de crise
Les
tracteurs tout terrain (et tout temps) étaient de sortie ce
samedi 1er octobre sur le marché de Cluny
![]() ![]() ![]() ![]() 29 septembre 2022 -
journée de grève et de manifestation septembre 2022
JSL - 26 septembre 2022
![]() Ils tentent de maintenir allumée la flamme de la Nupes Ce samedi, l’ancien candidat Nupes aux législatives Richard Béninger organisait une assemblée citoyenne à l’échelle de la 3e circonscription de Saône-et-Loire. L’obsession de cet Insoumis ? Que l’alliance avec les écologistes, les socialistes et les communistes perdure au-delà des législatives et à l’échelle locale. À l’intérieur de la petite salle communale sur laquelle a été scotchée une affiche aux couleurs de la Nupes, plusieurs chants retentissent ce samedi. Un Bella Ciao repris à tue-tête ou encore une version remaniée des Petits Papiers de Régine transformée pour l’occasion en “Laissez passer les sans-papiers”. Sur un paper-board, les amendements votés par chaque camp à l’Assemblée sont détaillés. L’occasion de rappeler que seule la gauche unie a voté en faveur de la revalorisation des retraites de 5,5 %, du SMIC à 1 500 euros ou des loyers bloqués. (...) 23 septembre 2022
Nouveau Front Populaire
![]() " C'est devant près de 5000
personnes que Jean-Luc Mélenchon a clôturé, dans un meeting
offensif, les universités d'été de La France Insoumise,
égratignant Emmanuel Macron et appelant la NUPES à former un
'nouveau Front Populaire' " (Le Dauphiné Libéré, 29 août)
29 août 2022 -
![]() Robert Linhart, L'établi, 1978
On sait bien ce qu'est un établi: une table de
travail, plus ou moins aménagée, dont se sert le
professionnel ou le bricoleur. Dans ce livre, l' "établi"
arrangé par Demarcy, vieil ouvrier de l'usine de 2cv de la
Porte de Choisy à Paris, lui sert à retoucher les portières
irrégulières ou bosselées avant qu'elles ne passent au
montage (si on veut être précis, c'est plus un gabarit qu'un
établi). Seul ouvrier professionnel de l'usine, il fait les
frais, à l'automne 1969, d'un mouvement de "rationalisation"
de la production, avec son lot d'absurdités et d'expériences
vexatoires: son "établi" est remplacé par un outil plus
"rationnel" avec lequel il ne parvient pas à travailler.
Symbole d'un travail que l'ouvrier ne doit pas s'approprier:
il était trop bon, et son outil était trop le sien. Un
"jeune" fera l'affaire sur cette machine "rationnelle".
Moins bien, mais plus interchangeable, plus impersonnel -
déqualifié. Arnaud Milanese Extraits
(...)
Meeting de clôture, 28 août 2022
Manuel Bompard, 28 juillet 2022
François Ruffin, 21 juillet 2022
François Ruffin, 20 juillet 2022
20 juillet 2022 -
![]() Richard
Béninger, ex-candidat NUPES sur la 3e circonscription, réagit
au salut nazi du député
Mr le député de la 3eme circonscription de Saône et Loire, Rémy Rebeyrotte, Par cette pitrerie du plus mauvais goût, vous faites honte à vos électeurs dont une partie vous ont choisi pour faire barrage à l’extrême-droite. Si vous cherchiez par ce geste à camoufler votre vote avec la majorité de votre groupe macroniste pour l’élection de deux vice- présidents RN à La Tribune de l’assemblée nationale, c’est raté ! La seule véritable opposition, c’est la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale - NUPES, comme le confirme les débats à l’assemblée et dans votre circonscription dès la semaine prochaine, nous diffuserons le tract d’urgence sociale qui propose un véritable plan de sauvegarde et de développement du pouvoir d’achat.
Clémence Guetté, 18 juillet 2022
Le Journal de
Saône-et-Loire - 11 juillet 2022
![]() La motion de censure de gauche débattue ce lundi à l'assemblée La motion de censure de l'alliance de gauche Nupes contre le gouvernement d'Élisabeth Borne sera débattue et soumise au vote ce lundi à partir de 16 heures à l'Assemblée nationale. Ce calendrier sur cette motion déposée mercredi, juste avant la déclaration de politique générale de la Première ministre, a été fixé en conférence des présidents de l'Assemblée. Comment va se dérouler le vote L'orateur du groupe LFI-Nupes s'exprimera en premier, avant l'intervention du gouvernement. S'exprimeront ensuite tour à tour les orateurs des autres groupes pour une durée totale d'environ 2h30. Le scrutin, organisé dans les salles voisines de l’hémicycle, sera ensuite ouvert à l’issue du débat pour 30 minutes. Seuls les députés favorables à la motion y participeront. Pourquoi cette motion de censure « En l'absence de vote de confiance », qui n'a pas été demandé par la Première ministre, « nous n'avons d'autre choix que de soumettre cette motion de défiance », avaient justifié les groupes LFI, PS, écologiste et communiste, alliés dans la coalition Nupes, dans leur texte. Selon eux, « le choix est fait de rompre l'équilibre institutionnel actuel du Premier ministre, évidemment choisi par le président de la République mais dont la légitimité procède aussi du Parlement ». Les signataires déplorent également le refus d'Elisabeth Borne de solliciter un vote, alors que la situation voulue par les Français « offre une opportunité inédite à l'expression d'un véritable parlementarisme ». De son côté, Jean-Luc Mélenchon, chef de file des Insoumis, qui ne s'est pas lui-même représenté pour être député, a estimé que la crise née des élections législatives, qui pourrait perdurer à travers un « blocage » au Parlement, « se dénouera par des élections » législatives. « Une perte de temps » pour la majorité Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement, a répondu dimanche : il a appelé Jean-Luc Mélenchon à « respecter le vote des Français » et « permettre au Parlement » de légiférer. « Il faut que lui-même accepte l'idée que le deuxième quinquennat vient de commencer, que la page électorale est derrière nous », a plaidé Olivier Véran au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, en soulignant que « l'intérêt général et la noblesse de la politique publique, c'est de concentrer son attention, son énergie et ses efforts vers l'amélioration du quotidien pour les Français ». Les macronistes comme Sacha Houlié (LREM) critiquent une « perte » de temps, loin des préoccupations des Français. « Si les oppositions veulent se fragiliser en démontrant qu'elles ne peuvent pas démettre la Première ministre, je n'en suis pas malheureux », glisse-t-il. « Vous allez chercher à censurer un gouvernement qui commence son travail », a aussi dénoncé Elisabeth Borne. « La cheffe du gouvernement a tendu la main à deux reprises aux oppositions, lors de sa déclaration de politique générale » et « en face, j’ai entendu Marine Le Pen du Rassemblement national (RN) et Mathilde Panot (...) répondre par l’insulte », a pointé le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin dans Le Monde samedi. Pourquoi la motion de censure a peu de chance d'aboutir Pour faire tomber le gouvernement, il lui faudrait réunir une majorité absolue, ce qui paraît très peu probable faute d'un rassemblement des oppositions. L'alliance de gauche Nupes rassemble 151 députés (un député n'a toutefois pas signé le texte de la motion, le socialiste Dominique Potier). Les groupes RN (89 députés) et LR (62) ne voteront pas la motion. Mais la cheffe de file des députés LFI Mathilde Panot espère en faire une démonstration de « défiance » contre Elisabeth Borne qui n'a pas de majorité absolue à l'Assemblée. Le RN a accusé les députés LFI de vouloir « tout bloquer » et en se présentant en opposition « qui construit » et concilie. « On attend déjà que Mme Borne nous dise où elle veut emmener le pays », a également expliqué un des porte-parole du groupe d'extrême droite, Sébastien Chenu. « On veut profiter de la situation pour obtenir des avancées », abonde, de son côté, le patron des députés LR, Olivier Marleix.
Mathilde Panot, 6 juillet 2022
30 juin 2022
Retrouvez le compte-rendu
détaillé de la réunion et des ateliers (format PDF),
accompagné d'illustrations.
16 mai 2022
30 mars 2022 -
Olivier
Leprévost - L'insoumis du coin
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